Vous savez, certains « peoples » appellent à l’arrêt du « Hollande bashing », ce qui se traduit en français convenable par une « hollando-phobie ».
Le problème c’est qu’avant que nous arrêtions de critiquer l’ectoplasme du Palais, il faudrait que ce dernier puisse avoir la décence de cesser les âneries toutes plus grotesques les unes que les autres.
Cette fin de présidence, en tout point calamiteuse, va se terminer par un immense naufrage car notre âne bâté élyséen n’a rien trouvé de mieux que de « crâner » comme un gosse pour épater la galerie auprès de journalistes du Monde avec une naïveté confondante où le bon coup s’est transformé en coup de boomerang.
Moi homme avec grosse quéquette et tuer plein de gens !!
Cette présidence, qui prend l’eau comme le Titanic, peut véritablement se résumer à ce que je viens d’écrire, car Hollande a commis deux erreurs majeures et cette dernière le rend directement passible de la CPI, qui n’est rien de moins que la Cour pénale internationale qui juge les crimes d’États, les crimes de guerre et autres joyeusetés de ce genre.
Pourquoi ?
Parce que la peine de mort c’est pas bien. Une exécution sommaire et sans procès non plus. Vous allez me dire « oui mais il a eu raison ». Sans doute, et telle n’est pas la question. Il a eu le tort immense de reconnaître qu’il donne des ordres pour liquider des gens partout dans le monde et sans procès.
On le fait.
On ne le dit pas.
Les services secrets servent à cela.
Inutile de vouloir jouer à celui qui « pisse le plus loin » pour faire preuve de virilité car on a presque l’impression que c’est un complexe qu’exprime « notre » président.
Effroyable erreur.
Mais ce n’est pas tout !!
Le parquet de Paris a ouvert une enquête judiciaire pour compromission de la défense nationale après la fuite d’un document confidentiel défense sur un projet de frappes françaises en Syrie en 2013
« Les confessions du président de la République François Hollande ne fait que commencer à faire des remous.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête judiciaire pour compromission de la défense nationale après la fuite d’un document confidentiel défense sur un projet de frappes françaises en Syrie en 2013.
Le procureur de Paris François Molins a ouvert une enquête préliminaire pour « compromission de la défense nationale » suite à la publication par Le Monde de documents classifiés obtenus par les journalistes du journal.
L’enquête a été ouverte après un signalement du député Les Républicains Éric Ciotti afin de déterminer si le document en question était classifié « secret défense », ainsi que pour préciser le degré d’atteinte porté au secret de la défense nationale.
Dans un article paru le 24 août, les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme, auteurs du livre « Un président ne devrait pas dire ça… », évoquaient un entretien avec M. Hollande le 30 août 2013 et mentionnaient un document « confidentiel défense » dont ils affirmaient s’être procurés une copie. « Sur le bureau du président, envahi de dossiers, quelques documents, certains estampillés « Confidentiel défense ».
Hollande consulte l’un d’entre eux en particulier.
Nous en avons eu copie », ont écrit les journalistes dans cet article qui avait pour titre « Le jour où… Obama a laissé tomber Hollande ».
« Rédigé la veille, le 29? août, par son état-major particulier, il détaille la « timeline du raid » à venir. C’est le véritable vade-mecum de l’intervention française. »
Un extrait publié du document parlait d’une des frappes aériennes planifiées par les forces armées françaises.
Concrètement, le plan s’avérait être le suivant : des Rafale basés à Abou Dhabi devaient tirer cinq missiles de croisière Scalp contre des bases militaires syriennes, mais ce en cas de feu vert du chef d’État français.
À cause du non accord américain, l’opération a été finalement annulée. Après l’appel du groupe Les Républicains, une initiative visant à destituer François Hollande pour divulgation d’informations secrètes a été transmise à l’exécutif par la présidence de l’Assemblée nationale.
Le communiqué des élus Les Républicains a expliqué que « cette proposition de résolution, à l’initiative de Pierre Lellouche, se fonde sur les graves manquements aux devoirs de sa charge dont a fait preuve le président de la République » dans le livre « Un président ne devrait pas dire ça ». »
L’indignité à gouverner…
Alors quelques « peoples » peuvent hurler au « Hollande bashing », il est évident qu’il n’a ni l’étoffe, ni la carrure d’un chef d’État encore moins par gros vent.
Il n’est ni sympathique, ni intelligent, ni brillant.
Il est indigne de la fonction.
Et même pas capable de se taire et de ne pas faire le malin.
Incapable également de ranger son bureau et les documents secrets ou de recevoir ses invités dans un des salons dont ne manque pas l’un de nos plus beaux palais.
Je ne pensais pas que nous aurions, en plus du scooter, droit à ce genre de chose. Rendez-vous compte, une enquête judiciaire pour compromission du secret défense par le président lui-même !
Édifiant, effroyable, les mots me manquent.
Vivement que nous puissions renvoyer ce sombre nodocéphale en Corrèze en m’excusant par avance auprès de tous nos amis corréziens…
Il est déjà trop tard. Préparez-vous !
Article écrit par Charles Sannat pour Insolentiae