Dur, dur, d’être président ! François Hollande est définitivement quelqu’un de normal. Sensible, doux, frêle. Evoquant la mondialisation dans un discours, le chef de l’Etat a affirmé que "le monde il est pas gentil".
François Hollande, ce grand sensible
François Hollande est un grand sensible. En plein discours devant les élus socialistes de l’Aude, mardi 19 mai dernier, le chef de l’Etat a quitté sa posture de président-candidat au profit d’une nature plus terre à terre. Il s’est ainsi révélé emprunt de sensibilité, évoquant le phénomène de la mondialisation.
"Le monde il est pas gentil"
"Il y a aussi le défi de la mondialisation, parce que le monde, il est pas facile, et parfois il est pas gentil" a-t-il ainsi prononcé, une phrase qui colle assez mal avec la stature d’un chef d’Etat. Imaginez Poutine ou Obama prononcer cette tirade ! Et il ne s’agit même pas d’une intox, le discours étant mis à disposition sur le site de l’Elysée.
Bientôt la fin du mandat pour François Hollande
Le monde il est méchant, le monde il est vilain. Telle est l’opinion de François Hollande sur la mondialisation. On imagine alors mal qu’il se représente en 2017. Courage Monsieur le président, il ne vous reste plus que deux ans à la tête de la France.